Le gouvernement a présenté cinq ordonnances fin août afin de réformer le code du travail et introduire « plus de souplesse dans les relations employeur-salarié » et « libérer le travail« . Certaines mesures s’inscrivent effectivement dans cette logique mais globalement l’exécutif ne répond pas aux nouvelles formes de travail qui émergent sous l’effet de l’ubérisation de l’économie.
Décryptage d’Anne-Sophie Le Fur-Leclair, associé en droit social au sein de Cornet Vincent Ségurel.